clarine
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 | | Sujet: Re: (Normandie) Journal diplomatique Ven 8 Nov 2013 - 21:45 | |
| - Citation :
- [rp]De nous, Adeline de Courcy, Chambellan de Normandie,
A tous qui liront ou se feront lire,
Un point sur la situation Normande au 7 novembre 1461,
Suite au dernier combat en Artois entre les troupes Artésiennes et royalistes, et les nombreuses pertes du coté artésien, les armées ennemis situées en Normandie se sont repliées sur Dieppe permettant ainsi aux armées Royalistes situées en Normandie de se positionner à leur tour sur Fécamp, protégeant ainsi tout le sud du Duché.
Avranches, Lisieux et Honfleur sont passé en Ville Franche permettant à la Normandie de récupérer la main sur les ports jusque là aux mains des Fatums. Ce passage en ville Franche à pu donner aux habitants de ces villages une grande bouffée d’oxygène, libérant les taxes des marchés et mettant à l’abri des procès abject de la justice « Fatum ».
Toutefois si le sud du duché est « libre » de l’oppression brigande, la circulation n’en reste pas moins difficile et menaçante. Des groupe « Fatum » ont trouvé refuge en Bretagne et une certaine crainte demeure malgré les quelques mots rassurants de ces derniers.
Concernant l’économie du duché, tant que le château n’aura pas été repris, il est toujours demandé a chaque personne n’étant pas en armée de ne pas travailler dans les mines afin de ne pas alimenter les caisses du duché, pour le cas ou les brigands reviendraient, et de toujours privilégier les champs, échoppes et ressources naturelles.
Les villes franches parviennent à se suffire à elles-mêmes, avec l’aide de quelques Normands qui n’hésitent pas à braver les dangers pour aller d’un village à un autre porter bois, fer, et autre nourriture. Grâce également à la générosité du comté du Languedoc qui n’a pas hésité à rejoindre la Normandie pour apporter des vivres aux villageois, le pain et le mais est de retour dans les tavernes normande.
Concernant la situation maritime, les ports de Rouen, Fécamp et Dieppe sont toujours aux mains des brigands, et les côtes Normandes sont toujours synonymes de danger pour tout navire naviguant dans cette zone. Il est recommandé de prévenir l’amirauté Royale en cas de passage dans la zone.
La brèche ouverte sur le front Artésien est sans doute synonyme d’un peu de répit du coté Normand et la fin prochaine de l’engeance Fatum sur la Normandie.
La Normandie tient bon, se bat, malgré la faim, la maladie et la traitrise de certains Normands également.
Fait dans l’enceinte d’une tente médicale, le 8e jour de novembre 1461.
Chambellan de Normandie
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